Les joueuses françaises ont pour ambition principale de renverser les quintuples championnes en titre, les Anglaises, dans le Tournoi des Six Nations, dans l’espoir de retrouver leur gloire passée depuis leur dernier sacre en 2018.
Les Françaises, qui aspirent à retrouver leur gloire dans le Tournoi des Six Nations après leur dernier sacre en 2018, ont fixé comme objectif principal de renverser les quintuples championnes en titre, les Anglaises. Leur victoire sur le terrain des championnes néo-zélandaises en automne (17-18) leur offre un motif d’espoir avant leur affrontement avec leurs rivales historiques lors de la dernière journée du Tournoi le 27 avril.
La talonneuse Agathe Sochat exprime le premier objectif de son équipe : « Engranger de la confiance lors des quatre premiers matches pour arriver libérées face aux Anglaises ». Cependant, les « Red Roses », qui ont enchaîné cinq Grands Chelems consécutifs, restent les grandes favorites, surtout à l’approche de la Coupe du monde en 2025. Néanmoins, la France rêve de les battre, comme le souligne la talonneuse Elisa Riffonneau, qui joue actuellement en Angleterre : « Je suis impatiente de les jouer. Ce sont nos meilleures ennemies. Nous sommes prêtes à les affronter et nous espérons décrocher le Grand Chelem ».
Les Françaises devront surmonter un défi de taille, car l’Angleterre est invaincue face à elles depuis 2018. Pourtant, selon la demi de mêlée Pauline Bourdon Sansus, les Bleues ne sont « pas très loin » et chaque année, elles progressent.
Malgré un parcours en dents de scie lors du récent « WXV », les Françaises, troisièmes au classement mondial, ont l’avantage de recevoir à trois reprises cette année, dont un match crucial contre l’Angleterre à Bordeaux. Les co-sélectionneurs, Gaëlle Mignot et David Ortiz, ont également mis en place un projet visant à intégrer de jeunes joueuses pour renforcer l’équipe et améliorer sa compétitivité collective.
