Dans une interview accordée à AS, Alvaro Gonzalez, défenseur de l’Olympique de Marseille, a confié ne pas comprendre la situation. S’il clame son amour pour le clubb phocéen, il demande plus de respect de la part des dirigeants a commencé par l’entraineur Jorge Sampaoli.
Alvaro Gonzalez est remonté contre l’Olympique de Marseille. Joueur important sous André Villas-Boas, le défenseur central, sous contrat jusqu’en juin 2024 avec le club phocéen ne joue plus du tout. Dans les colonnes de AS, l’espagnol, qui est profondément attaché à l’OM, ne comprend pas sa situation et demande plus de respect de la part du club.
« Je ne sais pas de quoi je suis victime. Ce que je sais, c’est qu’ils m’ont prolongé et à partir de là, des problèmes de toutes sortes ont commencé. J’ai dû baisser mon salaire le 31 août pour qu’ils puissent signer un joueur (Amine Harit) et même si cela m’a fait mal, je l’ai fait parce que je suis le troisième capitaine de l’équipe et j’ai compris que je devais faire ces choses pour le club. J’ai tout fait pour que tout le monde puisse être inscrit. À partir de ce moment-là, ils ont commencé à me rabaisser de manière incompréhensible alors que j’ai tout donné pour le club, j’ai traversé vents et marées. Plus tard, ils ont voulu me faire partir d’une mauvaise manière. Ça m’a un peu blessé. (…) Tout comme je respecte le club, j’aurais aimé que le club me respecte. Pendant le mercato, j’ai dit que je n’allais pas bouger. On sait tous à quoi ressemble le marché en janvier, les situations des équipes qui veulent vous prendre ne sont pas idéales, elles ont du mal. Ce n’est pas la même chose que d’aller dans des équipes qui vont bien. Je leur ai dit d’attendre jusqu’en juin, qui est un marché plus long avec plus d’options », a confié Alvaro Gonzalez.
Dimanche soir à 20h45, en clôture de la 24e journée de Ligue 1, l’Olympique de Marseille, 2e avec 43 points, se déplace sur la pelouse du FC Metz, 18e avec 20 points.