Dans un entretien accordé à J+1, Jérémy Ménez est revenu sur l’image de la génération 87, incarnée par Samir Nasri, Karim Benzema, Hatem Ben Arfa et lui-même. Nous, on nous a rien pardonné par rapport à d’autres joueurs. Je ne veux pas faire la pleureuse mais au moindre petit geste…, a lancé l’ancien Parisien. On est la première génération à être sorti tôt. Tout le monde pensait qu’on allait donner l’exemple, mais on avait 17-18 ans. On n’avait pas le vécu d’un mec de 25. On n’avait même pas le permis. On ne pouvait pas assumer ça, a déclaré l’attaquant du Milan AC.