Avec le Grand Prix d’Espagne, la Formule 1 revient en Europe. Pour les concurrents de Mercedes, impérial en début de saison, c’est déjà un motif d’espoir.
Si Nico Rosberg et Lewis Hamilton sont solidement installés en tête du championnat du monde, l’écurie Mercedes n’est plus aussi sûre de sa force depuis trois Grands Prix. En Malaisie, Sebastian Vettel était parvenu à hisser sa Red Bull sur le podium. A Bahreïn, Sergio Pérez avait fait de même avec sa monoplace Force India. Mais ce qui donne probablement le plus d’espoir aux spectateurs espagnols en vue de la course de dimanche, c’est le podium accroché par Fernando Alonso en Chine, au volant de sa Ferrari.
La F1 de retour en Europe
C’est paradoxalement au moment où la F1 revient en Europe que l’équipe allemande de Mercedes pourrait voir la concurrence marcher sur ses plate-bandes. Sur le circuit de Catalogne, les dépassements sont difficiles, mais la piste très abrasive pourrait donner lieu à de nombreux changements de pneus. Un petit jeu qui favoriserait potentiellement les équipes armées d’un moteur moins performant, mais d’une excellente culture tactique. Red Bull et Ferrari, par exemple…