Malgré une victoire précieuse en Belgique, l’OM a de nouveau vacillé en fin de match, révélant des fragilités mentales persistantes qui inquiètent à l’approche des prochaines échéances européennes.
À Bruxelles, l’OM a décroché une victoire précieuse contre l’Union Saint-Gilloise (3-2), mais non sans frayeurs. Après avoir fait le break grâce à un doublé de Greenwood et semblé maîtriser son sujet, Marseille a replongé dans ses angoisses habituelles lorsque Khalaili a relancé les Belges à vingt minutes du terme. Comme face à Angers, Toulouse ou l’Atalanta, la fin de match est devenue chaotique : pertes de balle, panique collective et deux buts belges annulés par la VAR ont failli tout faire basculer.
En conférence de presse, Roberto De Zerbi a reconnu un problème récurrent : l’incapacité de son équipe à gérer les dernières minutes. Fatigue physique, peur inconsciente, manque de maîtrise… le coach italien estime que son groupe doit apprendre à « tuer les matches » pour éviter de revivre ces scénarios étouffants.
Cette victoire, au goût autant rassurant qu’inquiétant, maintient l’OM dans la course aux barrages. Mais la trêve tombe à pic pour un groupe épuisé, qui devra impérativement dompter cette fragilité mentale s’il veut poursuivre son aventure européenne.
🚨 𝗟’𝗢𝗠 𝗦’𝗘𝗦𝗧 𝗜𝗠𝗣𝗢𝗦𝗘́ 𝗔̀ 𝗟’𝗘𝗫𝗧𝗘́𝗥𝗜𝗘𝗨𝗥 𝗘𝗡 𝗟𝗗𝗖 𝗔𝗣𝗥𝗘̀𝗦 𝗔𝗩𝗢𝗜𝗥 𝗘́𝗧𝗘́ 𝗠𝗘𝗡𝗘́ 𝗣𝗢𝗨𝗥 𝗟𝗔 𝗗𝗘𝗨𝗫𝗜𝗘̀𝗠𝗘 𝗙𝗢𝗜𝗦 𝗗𝗘 𝗦𝗢𝗡 𝗛𝗜𝗦𝗧𝗢𝗜𝗥𝗘 !! ⭐️💙🤍
— Actu Foot (@ActuFoot_) December 9, 2025
La première était le 6 décembre 2011, avec une victoire 3-2 face au Borussia… pic.twitter.com/gtFmEXbuY8

