Lors de la finale de la Coupe du Monde 1998, Franck Leboeuf avait suppléé Laurent Blanc, qui était suspendu. Le début d’une belle amitié ? Toujours est-il qu’au moment où tout le monde tombe sur le coach parisien, l’ancien défenseur de Chelsea prend sa défense. J’ai l’impression que Laurent Blanc a toujours été fragilisé, a-t-il déclaré avant le match perdu par le PSG à Guingamp (0-1). Il n’a pas été un premier choix, et le vestiaire le sait. Il est en sursis permanent. Il considère que l’entraîneur n’est pas le premier responsable des maux du club de la capitale : Dès qu’il y a un mauvais résultat, on tape sur Laurent Blanc. Bien sûr que l’on peut remettre en question certains choix. On a la critique facile. Les joueurs sont sur le terrain et avec leurs qualités, ils pourraient résoudre pas mal de problèmes. Laurent Blanc n’est pas fautif, a-t-il conclu.