Le conflit continue à Naples entre Aurelio de Laurentiis et ses joueurs. Mais cette semaine, le président du club italien a décidé de passer à la vitesse supérieure avec de lourdes sanctions pour les grévistes.
Ça chauffe toujours au pied du Vésuve. Ce lundi, le président de Naples Aurelio de Laurentiis aurait lancé les hostilités avec certains de ses joueurs, qu’il accuse à l’origine de la grève du début du mois de novembre, après la rencontre de Ligue des Champions contre Salzbourg. D’après la Gazetta dello Sport, le président aurait autorisé l’envoi de de courriers recommandés afin de prévenir ses joueurs de leurs futures sanctions.
En effet, les mutins seraient privés de 25% de leur salaire. Une sanction encore plus élevée pourrait même attendre le Brésilien Allan, après sa violente altercation avec Edo de Laurentiis, le fils d’Aurelio et vice-président du club. Toujours selon les informations du quotidien italien, le milieu de terrain pourrait recevoir une amende de 200 000 euros, soit 50% de son salaire. De quoi lui donner définitivement des envies de départ.