Petit crack de Palmeiras, Endrick a craqué hier soir face aux critiques et à la pression.
Sorti à l’heure de jeu face au RB Bragantino (2-0) en championnat la nuit dernière, le jeune Endrick (16 ans) a fondu en larme sur le banc de touche. La faute à l’énorme pression sur les épaules du joueur, qui n’a pas marqué le moindre but en 10 matchs et qui peine à digérer son transfert au Real Madrid pour 60 millions d’euros (bonus compris).
« Oui, c’est vrai, il s’est couvert le visage parce qu’il a pleuré. Je ne suis pas son père, mais j’aurais dû lui faire un câlin. Il en a besoin. C’est un enfant qui a marqué des buts décisifs l’an dernier. Personne n’aime les critiques. Il y a une énorme pression sur lui pour marquer cinq ou six buts et il essaie de la gérer lui-même. Le but viendra au bon moment. Il faut juste rester calme et garder le sourire », a expliqué en conférence de presse son entraîneur Abel Ferreira.