En fin de contrat à l’issue de la saison, Dan Carter est dans les petits papiers du Racing-Métro, en pole dans ce dossier, mais également de Toulon et de clubs anglais et japonais.
A 32 ans, Dan Carter a toujours la cote sur le marché des transferts. La légende des All-Blacks va pouvoir s’en rendre compte dans les mois à venir. Alors que son contrat avec la Fédération néo-zélandaise se termine l’été prochain, il ne risque pas de manque de propositions pour poursuivre sa carrière. Un retour dans le Top 14 pour celui qui a porté les couloirs de Perpignan en 2008-2009 (5 petits matches en raison d’une blessure) n’est ainsi pas à exclure, relaye l’Equipe.
Le Racing-Métro semble en pole dans ce dossier. Jacky Lorenzetti, le boss du club parisien, aurait d’ailleurs rencontré les représentants du demi d’ouverture, qu’il avait déjà tenté d’attirer en 2011-2012. Carter symboliserait parfaitement les ambitions d’un club qui se prépare à rentrer dans l’Arena 92, son futur stade, fin 2016. Et ce malgré l’arrivée attendue de Rémi Tales pour pallier le départ annoncé de l’Irlandais Jonathan Sexton à l’issue de la saison. Toulon, autre club intéressé de longue date par Carter, est aussi à l’affût, malgré ce que laisse entendre le président Mourad Boudjellal en raison de l’effort financier à faire pour cette opération.
A moins que Carter ne décide de découvrir un nouveau championnat. Les clubs anglais, autorisés à recruter un deuxième joueur hors salary cap, pourraient s’inviter dans ce dossier, à l’image des Saracens et de Bath. Même chose pour les clubs japonais, contraints de rapidement agir avant l’instauration attendue du salary cap. Avec un salaire estimé à quasiment 1 million d’euros la saison, Carter risque ainsi de toucher le jackpot. A voir si ce sera en France ou ailleurs.
