Pour Jacques Brunel, l’absence de Sergio Parisse n’est pas le facteur déterminant pour expliquer la différence au score. Je reconnais que la France mérite de gagner mais la différence au tableau d’affichage ne correspond pas à la partie que nous avons faite, a continué le sélectionneur de l’Italie battue par la France 32-10. Il y a un déséquilibre flagrant. L’arbitrage, que nous n’avons pas compris d’ailleurs, notamment sur la mêlée, a déséquilibré la partie. Il y a eu 12 mêlées au total et on a été pénalisé six fois, donc cinq fois sur notre introduction.
Tout ça, ce soir, nous laisse un mauvais goût à la bouche. On a eu le même nombre, peut-être plus d’opportunités que la France.