Max-Hervé George trace la nouvelle voie du sport-business avec SWI Group et Charles Leclerc

Et si la prochaine révolution du sport venait non pas du terrain, mais de la salle de réunion ? Max-Hervé George, président et Co-CEO du SWI Group, semble en être convaincu. Avec la nomination de Charles Leclerc en tant que conseiller spécial pour le sport et le divertissement, il impose une vision audacieuse : structurer l’industrie du sport comme un véritable levier d’investissement à impact. Une idée déjà en marche, pensée bien au-delà du simple coup médiatique.

Une stratégie pensée pour durer, pas pour séduire

Chez SWI Group, la stratégie n’a rien d’improvisé. Depuis plusieurs mois, Max-Hervé George travaille à intégrer le sport dans son architecture d’investissement, au même titre que l’immobilier ou les stratégies d’investissements alternatifs. Le sport n’est plus considéré comme un simple support événementiel ou publicitaire. Il devient un actif à part entière, à condition de le structurer avec méthode.« Le sport n’est pas un produit dérivé de la finance. Il peut en devenir une de ses composantes les plus durables, s’il est pensé avec rigueur. »

C’est dans cette logique que s’inscrit la création d’un comité stratégique dédié, composé d’experts reconnus issus du monde du sport, Andrés Iniesta, Frédéric Vasseur, et désormais Charles Leclerc, figure emblématique de la Formule 1 mondiale. Un trio complémentaire, appelé à conseiller SWI Group sur ses futures orientations dans les industries sportives et culturelles.

Charles Leclerc, un levier, pas un produit d’image

Contrairement à d’autres fonds qui utilisent des personnalités comme des têtes d’affiche, Max-Hervé George intègre Charles Leclerc dans un rôle décisionnel. À 27 ans, le pilote monégasque n’est pas seulement un athlète de haut niveau, c’est aussi un professionnel conscient de son image et de sa capacité à influencer des marchés.

Leclerc participera à l’analyse de projets concrets dans plusieurs domaines : technologies sportives, production audiovisuelle, fan engagement, événements immersifs, ou encore développement de formats de compétition innovants. Max-Hervé George ne cherche pas à capitaliser sur sa popularité, mais sur son expertise du terrain et sa lecture des tendances auprès des jeunes générations.

Max-Hervé George, bâtisseur d’un capitalisme d’influence

Au fil de ses initiatives, Max-Hervé George construit une forme de capitalisme narratif et transversal, qui réconcilie performance financière et impact culturel. Ce n’est pas un hasard si l’on retrouve dans sa stratégie des figures comme Leclerc ou Iniesta : elles incarnent à la fois l’excellence et la capacité à fédérer. Ce que Max-Hervé George cherche à bâtir, ce ne sont pas seulement des rendements, mais des récits, des imaginaires, des communautés. « L’influence est une valeur économique. Celui qui comprend cela dès aujourd’hui bâtira la finance de demain. »

Cette posture, loin des codes traditionnels du private equity, repositionne le rôle du financier : non plus en simple évaluateur de rentabilité, mais en producteur de sens et de dynamique collective.

George, Leclerc… et une vision du sport qui dépasse le cadre

Ce rapprochement entre un financier hors-norme et un pilote de renom n’est pas une fin en soi. C’est le début d’une méthode. Une façon de repenser le sport comme une industrie sérieuse, complexe, stratégique. Avec Max-Hervé George à la manœuvre, SWI Group se positionne comme un acteur de fond, capable de structurer, de financer, mais aussi d’orienter le sport de demain.

Leclerc est là pour accélérer une dynamique déjà en cours, pilotée par une gouvernance solide et une vision claire : celle d’un sport qui ne se consomme plus seulement… mais qui se construit.

Et SWI veut en être l’architecte.