La Ligue féminine de handball a réagi après l’affaire des tests de grossesse effectués à Nantes. Elle demande aux clubs une meilleure information des joueuses.
La Ligue féminine de handball s’est exprimée au travers d’un communiqué publié sur son site. Elle demande aux clubs une meilleure information des joueuses, dans le but qu’elles puissent « donner leur consentement
libre et éclairé aux prescriptions du médecin« . Et puisque selon le réglement, la LFH impose un bilan biologique avec des éléments « qui se limitent strictement aux dosages NFS (numération des globules sanguins), des réticulocytes, du fer et de la vitamine D« , la Ligue demande aux médecin de prescrire deux ordonnances distinctes. Ainsi, il sera demandée d’en écrire une première qui correspond aux « examens prévus par la réglementation de la LFH au titre du bilan biologique obligatoire minimum », et une autre qui correspondra « aux éventuels examens complémentaires envisagés par le médecin à l’issue de son examen clinique sollicités par le médecin, sous sa seule responsabilité« .