Alors qu’il vient de quitter le club libre de tout contrat, Boubacar Kamara avait fait l’objet d’un échange avec la Juventus Turin. Deal qu’avait refusé Jacques Henri Eyraud.
« Les ventes ? C’est le bilan noir de l’OM je dirais parce que cela fait des années que l’on vend très mal. Il y a avait la possibilité de faire Kamara à la Juventus, de l’échanger contre Romero post période Covid. Bon le dirigeant qui était en place (Jacques Henri Eyraud, ndlr) à l’époque n’a pas voulu rentrer dans cet échange de Cristian Romero qui a été vendu après 40 ou 50 millions à Tottenham. Parce que le dirigeant en place à l’époque rêvait un petit peu les choses et ne connaissaient pas bien le milieu. La problématique elle est que quand un joueur ne veut pas prolonger c’est ou tu arrives à trouver une solution rapidement et tu ne perds pas d’argent. On voit un club comme Naples qui ressemble beaucoup à Marseille, Naples ils ne se sont pas fait avoir sur Milik, nous on s’est fait avoir sur Kamara, le club récupère pas un euro. Quand je vois les déclarations en ce moment « oui mais il avait promis que … » ou « l’agent avait promis qu’il ne partirait pas libre », ok bon il est parti libre. Il y a un moment où il faut avoir de la force et Naples a réussi à récupérer un peu d’argent parce qu’ils n’ont pas fait une grande opération en le vendant que 12 millions Milik mais ils ont récupéré quelques choses. Nous Kamara on a eu la possibilité de faire des choses mais bon à la fin… », a confié Yvan Le Mée sur les antennes de RMC.