L’ancien sélectionneur de l’Espagne, Luis Enrique, s’est exprimé sur les différentes rumeurs l’envoyant en Premier League ou à la tête de la sélection brésilienne. Il s’est également exprimé sur l’actualité de la Roja…
Luis Enrique sort du silence ! Sans boulot depuis son départ de la Roja après l’échec de la Coupe du Monde 2022, l’ancien coach du Barça a été interrogé sur plusieurs thématiques dans un entretien accordé à Ser Gijón. Il s’est d’abord exprimé sur la défaite de l’Espagne contre l’Écosse (2-0), « Je n’ai vu aucun des deux matches. J’étais en Afrique du Sud. On se rend compte que quand on n’est pas là, les choses sont différentes. Chacun suit sa propre voie. Il y a plusieurs types de professionnels et il est logique que chacun suive sa propre voie », a-t-il commenté.
Pas contacté par le Brésil
Il y a quelques semaines, plusieurs titres de presse ont annoncé que Luis Enrique était proche de prendre la tête de la sélection brésilienne, cependant, les informations seraient erronées. « Il y a plusieurs équipes nationales qui cherchent un entraîneur. Je ne pense pas être l’entraîneur idéal pour une équipe nationale comme le Brésil. Le profil de l’entraîneur pour cette équipe nationale n’est pas le même que le mien. Personne au Brésil ne m’a contacté », a-t-il d’abord expliqué, « Pour que je prenne une sélection, il faudrait que ce soit une équipe nationale très, très forte », a confié l’ancien du Barça.
La Premier League, un rêve pour Enrique !
Luis Enrique semblerait apprécié énormément le championnat anglais, « Je suis surtout la Premier League, parce que j’aimerais aller travailler en Angleterre. Je regarde plus le championnat anglais que le championnat espagnol. Je regarde les grandes équipes du championnat espagnol », a-t-il expliqué avant de revenir sur une potentielle arrivée en Premier League, « Je suis influencé parce que j’aimerais aller travailler là-bas. Je ne me vois pas en Premier League en juin. Je n’irais pas dans n’importe quelle équipe mais dans celle qui pourrait faire des choses importantes, ce qui réduit considérablement le nombre. Je ne me fais pas d’illusions, pour être honnête, parce qu’il y a tellement de candidats. Mais j’ai de la chance car ma vie personnelle me comble. Que cela traîne, qu’il n’y ait pas d’offres ? C’est comme ça, j’irais dans une équipe qui a des possibilités. Cela ne veut pas dire que je ne travaillerai pas en Espagne », a-t-il révélé. Affaire à suivre…