Une onde de choc a traversé le monde du football suite aux événements survenus à la Ville de Football mercredi matin. L’Espagne, l’une des fédérations les plus influentes de l’UEFA et de la FIFA, est au centre de l’attention, alors que ces institutions observent de près la situation qui émerge.
La FIFA a été la première à réagir après la finale de la Coupe du Monde féminine, en sanctionnant Luis Rubiales et en le suspendant de toute fonction dans le monde du football. Maintenant, le monde du football attend avec impatience, scrutant attentivement les développements à la Ville de Football et dans d’autres villes espagnoles. Depuis Zurich, l’appel à l’intervention de la police et à des enquêtes approfondies est fort, et il est clair que rien de ce qui s’est passé ne sera oublié.
Lorsque des dirigeants d’autres fédérations ont été confrontés à des arrestations ou à des procédures judiciaires, l’UEFA et la FIFA ont immédiatement retiré leur participation et les ont écartés de toute position de gouvernance au sein des institutions. Dans le cas de Rubiales, déjà sanctionné, il semble désormais inimaginable que la situation puisse être traitée comme si de rien n’était. Actuellement, la Fédération espagnole n’a aucun rôle représentatif au sein de ces deux institutions majeures, ce qui atténue quelque peu l’impact de cette situation.