Les blessures s’enchaînent au Paris Saint-Germain avant le quart de finale de la Ligue des Champions face à l’Atalanta. Pour Nabil Djellit, consultant sur L’Equipe, cet enchaînement de blessures montre aussi certaines faiblesses du club de la capitale.
« Cela met en lumière aussi le PSG version Qatar. C’est-à-dire qu’en gros, ça met en lumière le manque de fond de jeu. Il y a des équipes ailleurs dans d’autres grands pays qui vont avoir des absents. Tu vas changer un joueur par rapport à un autre et tu ne vas pas vraiment voir la différence. Avec le PSG version Qatar, ce sont des grands noms donc dès que tu as un grand nom qui n’est pas là, c’est la panique ou un magnétisme négatif. La saison passée, l’Ajax perdait un joueur et tu ne voyais pas la différence. Si tu as un collectif assez fort, peut-être qu’on pondérerait les absences mais comme c’est une équipe qui se construit sur des stars, toute de suite, elles prennent toute la place », a indiqué Nabil Djellit sur La Chaîne L’Equipe.