OM - Newcastle, l'animation du virage Nord

OM – Newcastle : « Le stade le plus bruyant »… La presse anglaise choquée par le Vélodrome

Après cet OM – Newcastle (2-1), la presse anglaise a été choquée par les supporteurs marseillais et l’ambiance cacophonique du Vélodrome.

L’OM a fait un coup contre Newcastle (2-1) en J5 de la Ligue des Champions et les supporteurs marseillais n’ont pas dérogé à leur réputation : Ce sont les plus chauds d’Europe ! Après la déroute de leur équipe, la presse anglaise s’est montrée admirative de l’ambiance assourdissante de l’Orange Vélodrome. « Difficile de trouver un endroit plus bruyant que celui-ci », a lancé Adam Summerton, commentateur pour TNT Sports, diffuseur de la Ligue des Champions en Angleterre.

« Impressionnant », a écrit Mark Douglas, journaliste pour The i Paper Sport, au moment de voir l’animation marseillaise, lors de l’entrée des joueurs. « Ambiance survoltée, la plus bruyante que j’ai entendue », a acquiescé Jordan Cronin, journaliste pour NewcastleWorld.

Côté Daily Mail, c’est la ferveur des supporteurs marseillais qui est souligné. « Ce qui m’a le plus marqué ce soir au Stade Vélodrome, comparé à l’ambiance des stades anglais… c’est qu’il y avait 65 000 participants, pas de simples spectateurs. C’est un véritable engouement, une ferveur qui consiste à se donner à fond pendant 90 minutes », a insisté Craig Hope sur X, le responsable du service football du média.

Le Vélodrome a marqué les esprits en Angleterre

The Time en remet une couche. « Un stade reconstruit et époustouflant… mais le même bruit phénoménal qu’en 2004, lors du dernier match de Newcastle ici », a commenté le journaliste Martin Hardy. Visiblement, la presse anglaise avait été marquée par le doublé de Didier Drogba et le souvenir de l’ambiance du Vélodrome a été ravivée par cet OM – Newcastle en 2025.

« C’est un endroit difficile à aller », a assuré un reporter de la BBC. « C’était pour le moins hostile et ils font du bruit. Déjà à l’époque, les supporteurs marseillais nous avaient rendu les choses très, très difficiles. Et bien sûr, ils avaient aussi un joueur très spécial à l’époque, ce qui n’aidait pas la situation. À Marseille, tout est question de gérer l’atmosphère et l’événement », a analysé le journaliste anglais.