L’Olympique de Marseille a étonné en incluant le latéral droit Jonathan Clauss dans la liste des joueurs transférables en raison de son comportement. Cette mesure a soulevé des questions, notamment de la part d’Eric Di Meco, ancien joueur de l’OM.
En cette dernière ligne droite du mercato d’hiver, l’Olympique de Marseille a surpris en plaçant le latéral droit Jonathan Clauss sur la liste des transferts en raison de son attitude. Cette décision a suscité des interrogations, notamment de la part d’Eric Di Meco, consultant pour RMC, qui a exprimé son désarroi quant à la stratégie adoptée par le club phocéen.
« Vu son statut et l’importance qu’il a sur le terrain, il est moins bien, tu veux lui mettre un coup de pression, tu ne fais pas une sortie publique dans la presse. C’est même contreproductif pour le vendre, par rapport au message que tu envoies aux autres clubs. S’ils font ça, c’est qu’ils veulent vendre. Et si tu veux vendre un de tes meilleurs joueurs, voire ton meilleur, en tout cas le seul international français à l’OM, ça veut dire quoi ? », s’est interrogé l’ancien Marseillais.
En somme, la décision de l’Olympique de Marseille de rendre publique la situation de Jonathan Clauss suscite des interrogations quant à la manière dont le club gère ses négociations de transfert et à la communication entourant ces décisions. L’ancien olympien souligne l’apparent paradoxe entre la volonté de vendre un joueur clé et le choix de rendre cette intention publique, une démarche qui pourrait compromettre l’efficacité de la transaction à venir.