En raison des troubles internes actuels, l’Olympique de Marseille est au cœur des débats, attirant l’attention et les commentaires, particulièrement de la part de Pierre Ménès. Celui-ci adopte une perspective critique en abordant la question de la vente du club, exprimant son désir de voir le club changer de propriétaire,
En pleine tourmente en coulisses, l’Olympique de Marseille suscite l’attention et les commentaires, notamment de la part de Pierre Ménès, qui aborde le dossier de la vente du club avec un regard critique. Ménès exprime son souhait de voir le club être vendu, bien que ses espoirs semblent teintés de scepticisme. Il souligne l’impact négatif de la situation actuelle de l’OM sur la Ligue 1 et les négociations des droits, soulignant le besoin de clarté autour de l’avenir du club.
« Avoir un OM en déconfiture comme cette saison, c’est très mauvais pour la Ligue 1. C’est très mauvais au moment de la négociation des droits. Le flou artistique autour de l’avenir de l’OM, ce n’est pas bon », déclare l’ancien consultant du CFC, soulignant ainsi les conséquences néfastes de l’instabilité du club sur le paysage du football français.
Pierre Ménès ne mâche pas ses mots concernant Frank McCourt, le propriétaire actuel de l’OM, qu’il accuse de manquer d’implication et de considération envers le club : « Il se fout de son club comme de son dernier burger… ». Cette critique souligne la frustration envers McCourt et son approche perçue comme désintéressée.
En outre, Ménès pointe du doigt un potentiel obstacle à la vente du club, à savoir les supporters jugés ingérables qui gravitent autour de l’OM. Il compare la situation aux investissements qataris, soulignant l’appréciation de la discrétion par ces investisseurs. La présence de supporters influents et parfois tumultueux comme Rachid Zeroual est considérée comme un repoussoir pour des investisseurs sérieux.
« Les Saoudiens sont comme les Qataris, ils aiment beaucoup la discrétion. Et investir des centaines de millions dans un club où tu as Rachid Zeroual et sa bande qui peuvent débouler à la Commanderie dès qu’il y a deux matchs qui ne tournent pas rond ou qu’on ne leur a pas donné des sandwichs halal… Cela ne va pas aller. C’est un repoussoir pour des investisseurs sérieux. C’est pour ça que je n’y crois pas. Je le regrette », conclut Ménès, exprimant sa déception face aux possibles freins à une vente du club.