Pour Eric Di Meco, Peter Bosz découvre les problèmes de la mentalité française.
« On va essayer de ne pas tirer d’enseignements définitifs au bout de trois journées. Il y a un nouvel entraineur qui arrive, ils perdent leur star qui est partie au Barça et qui était un vrai taulier, et donc on va attendre un peu. Le coach arrive avec de nouvelles méthodes qui peuvent surprendre. Avec un franc-parler qui est rafraichissant mais est dangereux car tu peux te mettre le vestiaire à dos. Il va vite se faire à la mentalité française aussi. Juninho a aussi une responsabilité sur tout ce qu’il passe. Des mauvais choix d’entraineurs, et un recrutement dont il a une part de responsabilités. Cette année, Juninho il va être jugé, il serait temps. Il a toujours été épargné de par son passé de joueur emblématique », a indiqué le consultant sur RMC.