Après son sacre en Ligue 1 arraché avec l’AS Monaco au nez du Paris Saint-Germain, Valère Germain s’est lancé dans un défi périlleux à l’Olympique de Marseille. Une histoire loin d’être belle entre le buteur et le club olympien.
Avant l’arrivée inattendue d’Arkadiusz Milik à l’Olympique de Marseille, l’OM n’a cessé de chercher un attaquant d’envergure internationale capable de renverser le scénario de n’importe quelle rencontre. Après le départ de Bafétimbi Gomis, les noms se sont accumulés : Kostas Mitroglou, Valère Germain, Mario Balotelli ou encore Dario Benedetto… Une étiquette de « grantatakan » apposée sur le nom dès leur arrivée. Une expérience inoubliable dans le mauvais sens du terme pour Valère Germain qui se confie sur son passage à l’OM, de 2017 à 2021.
« On avait l’impression que par moment j’étais la dernière des merdes ? Oui, c’est sûr. Quand j’arrive à Marseille, il y avait encore Bafé (Gomis) qui était dans l’effectif. Et au moment, où j’arrive pour signer, c’est le jour où le club décide que c’est terminé entre eux. Je venais pour être associé avec lui et à partir de ce moment, Marseille a continué à chercher le « grantatakan ». Ils ont pris Mitroglou, qui avait fait une super carrière, qui avait un peu des problèmes de dos. J’ai dû avoir cette étiquette du grand attaquant, chose que je n’aurais pas dû. Les gens avaient énormément d’attentes. Il y a des moments où ça a été, d’autres pas. Il y a des fois ça a été un peu compliqué« , a déclaré Valère Germain dans un entretien accordé à Pierre Ménès.