Ces dernières semaines, l’OGC Nice traverse une période difficile en Ligue 1, enchaînant quatre défaites et deux matchs nuls lors des six dernières rencontres. Cette série de résultats a fait chuter les Aiglons à la sixième place du championnat, mettant en lumière les difficultés rencontrées par l’équipe, notamment dans son secteur offensif.
Avec seulement 24 buts marqués en 25 matchs, l’inefficacité de l’attaque niçoise est flagrante. Cette statistique devient encore plus préoccupante lorsque l’on compare les performances de l’OGC Nice à celles des autres équipes à travers le monde. Selon une analyse du CIES portant sur 54 championnats, seul le club australien de Melbourne City affiche une moins bonne efficacité offensive (-0,63). En effet, les Niçois marquent en moyenne 0,56 but de moins par match que prévu. Si l’on extrapole cette différence sur les 25 journées déjà disputées, cela signifie que Nice aurait dû inscrire 14 buts de plus cette saison que ce qu’il a réellement réalisé.
Cette crise d’efficacité en attaque est un défi majeur pour l’OGC Nice, qui aspire à des performances plus cohérentes pour atteindre ses objectifs en championnat. La recherche de solutions pour améliorer la productivité offensive devient donc une priorité pour l’équipe et son entraîneur, afin de renverser la tendance et retrouver la voie du succès dans les matchs à venir.