La Direction nationale de contrôle de gestion (DNCG) a rendu son verdict pour le Nîmes Olympique. Elle a pris la décision de maintenir le club en Ligue 2 avec, toutefois, un encadrement de la masse salariale. La décision du CNOSF, concernant les huit points de pénalité, n’est, elle, pas encore connue.
Le chapitre DNCG clos, le Nîmes Olympique chercher à refermer celui du Comité national olympique et sportif (CNOSF) que le club a saisi après les huit points de pénalité infligés par la commission d’appel de la fédération qui avait annulé la rétrogradation en National prononcée par la commission de discipline de la Ligue. Selon Nîmes, les faits sont contestables et juridiquement, il est loin d’être prouvé qu’il y ait eu tentatives de matches arrangés. Devant les conciliateurs, les dirigeants gardois ont rappelé l’assainissement du club (Conrad et Kasparian hors-jeu, une dizaine de licenciements, quatre joueurs du centre de formation promus pros cet été) et estimé que le club avait déjà payé la sanction : en dégringolant au classement après l’annonce de la rétrogradation en première instance, il a perdu environ 300 000 euros de droits TV.
La décision est attendue d’ici une semaine et le comité exécutif de la FFF a un mois pour décider de la suivre ou pas.