C’est sur la pelouse du GFCO Ajaccio que Dijon défendra sa place de leader de Ligue 2, vendredi soir, dans le cadre de la 7e journée de Ligue 2. Une rencontre qu’Oliver Dall’Oglio compte bien remporter.
C’est sur la pelouse du GFCO Ajaccio que Dijon défendra sa place de leader de Ligue 2, vendredi soir, dans le cadre de la 7e journée de Ligue 2.
Olivier Dall’Oglio peut savourer. Après six journées de championnat, son équipe pointe à la première place du classement. Un statut que les Bourguignons devront défendre en Corse, face au GFCO Ajaccio, au cours d’un déplacement qui s’annonce périlleux. Pour autant, l’optimisme est de mise. Le groupe est assez confiant, c’est une très bonne chose pour nous. Nous ne sommes qu’au début du championnat, et il faut enchaîner derrière. On sait qu’il nous reste pas mal de travail, on doit rester concentrés et disciplinés. Je sens qu’il y a un très bon état d’esprit dans le groupe. A nous de rester vigilants en sachant qu’on aura des moments plus délicats à gérer, a expliqué le technicien dijonnais en conférence de presse.
D’autant que désormais, les équipe que Dijon aura à affronter seront forcément un peu plus motivées. Je me mets à la place d’Ajaccio, ils reçoivent le leader, c’est motivant… C’est un challenge supplémentaire a prévenu Dall’Oglio qui se méfie du Gazélec : C’est est une équipe qui monte, qui est expérimentée avec Pujol, Ducourtioux, Bréchet… C’est un mélange avec des joueurs du monde amateur. On sait qu’on aura un combat à livrer. Ils enchaînent trois défaites d’affilée donc c’est le moment de réagir pour eux.
Souvent confrontés à des résultats irréguliers, ce qui les avaient empêché de monter la saison dernière, les Dijonnais auront désormais comme objectif de rester constants tout au long de la saison. Nous essayons d’être vigilants sur les comportements, les attitudes, sur le jeu produit, sur l’état de fatigue ou l’état mental… On s’assoie sur certaines certitudes. Les méformes ne s’expliquent pas toujours, a néanmoins fait remarquer le coach bourguignon. Mais dans un championnat aussi homogène que la Ligue 2, les points perdus peuvent valoir très chers en fin de saison. Un dérapage en Corse serait un mauvais signe envoyé à la concurrence et Olivier Dall’Oglio est en bien conscient.