Les dirigeants de Troyes ne savent plus quoi faire afin de relancer l’équipe qui a déjà un pied en Ligue 2. Après Jean-Marc Furlan, ils ont choisi de débarquer son successeur Claude Robin.
Mais que se passe-t-il à l’ESTAC ? Sur le papier, on ne voit pas comment le club basé dans l’Aube va sortir la tête de l’eau en Ligue 1. En effet, cette écurie occupe la 20e place du classement avec seulement 11 points au compteur. L’ESTAC compte aujourd’hui 15 longueurs de retard sur le Gazélec Ajaccio (17e) qui est le premier club non-relégable. Le 3 décembre dernier, les décideurs de Troyes avaient choisi de limoger Jean-Marc Furlan qui n’arrivait plus à tirer le meilleur de son escouade.
Après mûre réflexion, ils avaient décidé d’introniser Claude Robin. Si on excepte quelques éclaircies en Coupe de France et en Ligue 1 (3-1 contre Lille), force est de constater que le club troyen a toujours la tête dans le seau. Mercredi soir (hier), l’ESTAC a subi la loi de Guingamp (0-4). Aujourd’hui, les dirigeants ont choisi de trancher, une nouvelle fois dans le vif, en décidant de limoger Claude Robin.
La direction du club annonce qu’elle décharge, à compter de ce jour Claude Robin de la responsabilité de l’équipe première. Dans un contexte sportif très difficile, cette décision vise avant tout à préserver les intérêts de chacun, peut-on lire via un communiqué publié sur le site officiel de l’ESTAC. Jusqu’à nouvel ordre, trois hommes vont assurer l’intérim. Autrement dit : Mohamed Bradja, Michel Padovani et Olivier Tingry.
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