Samedi dernier, Neymar a officialisé sa prolongation avec le Paris Saint-Germain. Une opération qui aurait pu être finalisée bien plus tôt si le clan Neymar n’avait pas fait traîner les choses. Le Brésilien attendait une ultime approche du FC Barcelone.
Félicité par l’ensemble de la direction parisienne, l’officialisation de la prolongation de Neymar a mis fin à de nombreuses rumeurs et polémiques autour du club. C’est ce que l’on pouvait croire mais il n’en est rien. Le président parisien, Nasser Al-Khelaïfi, nous parle de choix de cœur, une bien belle illusion servit aux supporters afin de poursuivre l’histoire teintée de romantisme qui s’écrit au fil des semaines dans la capitale française. Récemment, le président catalan, Joan Laporta s’est dit « utilisé » par le clan Neymar, une déclaration peu anodine symbole d’un malaise émergent. Le PSG était un choix par défaut, le Brésilien souhaitait retourner au FC Barcelone.
Information du très fiable Romain Molina, dans sa dernière vidéo « Quels changements à venir pour le PSG », l’investigateur a dévoilé une face cachée de la prolongation de Neymar au club parisien. Le Brésilien aurait dû prolonger le 25 avril entre les quarts et les demis de Ligue des Champions afin d’être serein et totalement concentré sur les échéances à venir. C’est du moins ce qu’avait prévu le PSG. Un délai impossible à tenir, le clan Neymar a intentionnellement fait durer les négociations avec la direction du Paris Saint-Germain pour s’entretenir avec le FC Barcelone. Neymar, son père et Pini Zahavi, son agent, espéraient un signe du Barça avant de véritablement prendre une décision. Prolonger ou tout faire capoter. Néanmoins, malgré les amitiés entre les différentes parties, aucun accord n’a pu être trouvé en raison des problèmes financiers rencontrés par le club blaugrana. Un constat qui a forcé la main du Brésilien qui n’avait plus qu’une seule solution : prolonger avec une belle prime à la signature à la clé. Situation qui semble parfaitement convenir au PSG qui aurait pourtant pu être, une nouvelle fois, le dindon de la farce.