Toujours attaché au projet de Super League, le patron de la Juve a clamé sa nécessité ce vendredi face aux médias.
« La Super League n’est pas un coup d’État, mais un cri d’alarme désespéré pour un système qui, sciemment ou non, se dirige vers l’insolvabilité. » Voici les mots prononcés ce vendredi par le président de la Juventus Turin Andrea Agnelli lors de la conférence de presse d’adieux à Fabio Paratici, directeur sportif du club depuis 11 ans.
Une façon de rappeler que le projet n’est pas encore totalement enterré, même si la majorité des clubs se sont retirés de la Super League. « La Juventus, Barcelone et le Real Madrid sont déterminés à obtenir une réforme complète des compétitions, et surtout, dans l’intérêt des clubs qui nous font craindre cette situation. »
Pour rappel, l’UEFA a annoncé de lourdes sanctions à l’encontre des trois clubs qui ne se sont pas rétractés dans leur projet de Super League. Ils risquent même une exclusion des deux prochaines éditions de la Ligue des champions. Des sanctions pour l’instant figées, alors que l’instance européenne à suspendu son enquête.