Initialement, un accord mutuel a été établi entre la Fédération japonaise de football (FJA) et le joueur, permettant son retrait prématuré de la sélection en raison des sérieuses allégations d’agression sexuelle qui le vise, contrairement à ce qui avait été annoncé.
La situation entourant la participation de Junya Ito à la Coupe d’Asie a pris une tournure inattendue, suscitant des réactions contradictoires au sein de la Fédération japonaise de football. Au départ, un consensus avait été trouvé entre la FJA et le joueur lui-même, autorisant son départ anticipé de la sélection en raison des graves accusations d’agression sexuelle qui pesaient sur lui. Cependant, cette entente préliminaire a été brusquement remise en question par la FJA, créant une incertitude quant à la présence de l’attaquant du Stade de Reims au sein de l’équipe nationale japonaise.
Initialement, il semblait que la tendance penchait en faveur du maintien de Junya Ito au sein de l’équipe pour le reste de la compétition au Qatar, malgré les controverses entourant son nom. Ses coéquipiers exprimaient clairement leur souhait de le voir rester dans le groupe, renforçant ainsi une dynamique collective. Cependant, la Fédération japonaise de football a finalement fait volte-face.
Le retournement de situation a été officialisé par le président de la FJA, Kozo Tajima, qui a déclaré : « Après avoir consulté l’entraîneur, Hakime Moriyasu, on a décidé qu’Ito devait quitter l’équipe nationale du Japon. » Cette annonce intervient à la veille du quart de finale contre l’Iran, soulignant l’urgence de la décision et son impact potentiel sur la cohésion de l’équipe.