Le 10 mars dernier, l’Atalanta Bergame s’est déplacée sur la pelouse du FC Valence, le célèbre stade de Mestalla, en huitième de finale retour de la Ligue des champions. Une « bombe biologique » qui a importé le coronavirus en Espagne… et qui aurait pu être évitée !
Avant ce déplacement, l’entraîneur du club italien, Gian Piero Gasperini a contracté le coronavirus. Une maladie alors en forte propagation dans le Nord de l’Italie, mais pratiquement inexistante en Espagne. Le technicien de 62 ans n’a rien dit, désireux de ne pas faire annuler cette rencontre au sommet. La suite, on la connaît. Le coronavirus a explosé en Espagne, causant depuis lors près de 30.000 morts.
Gian Piero Gasperini a caché qu’il avait le coronavirus
Les experts scientifiques ont surnommé ce match FC Valence – Atalanta Bergame la « bombe biologique ». Quelques jours plus tard, le gouvernement espagnol décrétait le confinement de l’ensemble de sa population.
Le FC Valence s’est insurgé contre ces révélations et a publié un communiqué incendiaire, dénonçant le silence de Gian Piero Gasperini.