Le candidat à la présidence de la FFF avait été condamné à six mois de prison avec sursis dans l’affaire des matches truqués de Nîmes en 2014 (Ligue 2).
Quelques minutes après cette décision en janvier 2020, Michel Moulin avait décidé de se pourvoir en cassation. « Même si la Cour d’appel de Paris a décidé de ramener à la baisse la condamnation de Michel Moulin de dix mois de prison avec sursis à six mois, et de ne pas prononcer de peine complémentaire d’interdiction d’exercer de fonctions dans le milieu du foot, Michel Moulin condamne le principe de sa condamnation et se pourvoit en cassation à l’écoute de l’arrêt de la cour », avait déclaré l’avocat de Michel Moulin après le verdict.
Le candidat à la présidence de la FFF a évoqué cette histoire très récemment et indique qu’il souhaite laisser cette affaire derrière lui : « Je crois en la justice de mon pays : la cassation va me donner raison car il n’y a absolument rien. Les gens qui connaissent le foot savent que je suis quelqu’un de généreux et que j’ai toujours été quelqu’un de bénévole. »