Les temps sont durs à l’Atlético Madrid. Surtout après l’élimination du club de toutes les compétitions européennes. Et la pilule est vraiment difficile à avaler pour un certain Antoine Griezmann.
« Cher journal. Ça a été une semaine difficile à Atleti, je ne vais pas le nier. Des fins de matchs extrêmes qui vont toujours dans l’autre sens, une défense qui prend l’eau, une élimination des compétitions européennes… C’est clair pour moi que cette année, je n’allais pas m’asseoir à la table de Messi (en Ligue des champions), mais ça n’allait pas non plus être possible d’être à celle de Cristiano (en Ligue Europa).
C’est dommage, même s’il faut rester fidèle à la philosophie du Cholo. Je le serai toujours. Je lui en dois une : sans Simeone, en ce moment je ne sais pas où j’en serais… Eh bien, oui, probablement sur le banc. Alors n’oublions pas : match par match, combat pendant 90 minutes (ou 100, dans notre cas). C’est ce dernier qui m’a le plus surpris ces dernières semaines. J’avais oublié combien de temps duraient les réunions », a lancé Griezmann dans une chronique publié par Sport.