Daniel Alves était présent face aux médias avant les 8es de finale retour de la Ligue des Champions, ce mardi soir, face au Real Madrid. Voici ses déclarations.
SUR L’ARBITRAGE :
« Si le match doit se décider sur une décision arbitrale, j’espère que ce sera en notre faveur ! On se contente de travailler et faire un bon match. Les journalistes ont besoin de raconter des choses ! Je n’aime pas les excuses. J’aime avoir le feu en moi et je n’ai pas besoin d’excuses. Le clip avec les supporters ? Ça arrive dans tous les clubs. Tout ce qui est autour, j’espère que cela restera pacifique, dans le respect et dans la paix, sInon, les enfants ne pourraient pas venir au stade. »
LE PSG ET LA CONFIANCE DE L’ÉQUIPE :
« Il manque des matches comme demain et se qualifier contre des adversaires comme demain. Je ne suis pas venu pour vivre à Paris ou pour l’argent. Je suis un compétiteur. La passion me motive, la passion de mon métier. Le match aller nous fait penser qu’on peut faire un pas en avant. A l’aller, on a été supérieur en termes de jeu et de situations favorables mais le Real Madrid a été bon dix minutes. Ce qu’on a fait pendant 80 minutes là-bas, on doit le faire pendant 90 au Parc des Princes. Il n’y a rien de plus motivant que cet adversaire dans cette compétition. Il va falloir faire le match parfait. A nous d’être intelligents. On a 90 minutes et il ne faut pas penser qu’on en a que 15. »
SUR NEYMAR :
« Je parle avec lui pratiquement tous les jours. On a convenu qu’on se verrait plus loin dans la compétition. Quand on fait un pacte avec lui, en général, ça marche. Il y a deux options, s’asseoir et pleurer ou se lever et faire ce qu’on a faire. Avec Neymar, le PSG est plus fort mais l’équipe est très forte sans lui. »
SON RÔLE DANS LE VESTIAIRE :
« Je ne pense pas que mon discours influencera beaucoup le groupe. Chacun peut prendre la parole et apporter des choses positives. Ce sont des moments uniques. L’histoire doit changer pour le PSG qui doit dépasser ses limites. Il doit grandir en tant que club et nous en tant qu’équipe. Et pour cela il faut y croire. On y croit ! A nous de le faire maintenant. »
LE MATCH :
« Ce n’est pas le match le plus difficile à jouer de ma carrière mais il sera difficile. C’est un défi car on doit changer l’histoire du PSG dans cette compétition. On a une chance unique d’avancer en tant que club ou en tant que groupe. Avoir la possibilité d’éliminer le champion sortant nous rapprocherait de l’objectif final. Au match aller on méritait mieux même s’il nous a manqué un peu d’expérience.