Le Conseil d’Etat a confirmé ce mardi la suspension d’un an de Tony Yoka pour trois « no-show ».
Suspendu pour une durée d’un an au mois de juin dernier par l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) pour trois manquements aux obligations de localisation lors de contrôles antidopage (« no show »), Tony Yoka a vu sa peine confirmée mardi par le Conseil d’Etat, qu’il avait saisi. Le champion olympique ne pourra donc plus combattre jusqu’en juillet 2019.
C’est un coup d’arrêt pour le Français dans sa quête du titre de champion du monde des poids lourds chez les professionnels. Il avait remporté ces cinq premiers combats depuis son passage chez les pros.