Borja Iglesias prend position à la Vuelta : « Un génocide », le cycliste soutient la cause palestinienne

La Vuelta 2025, l’un des trois grands tours cyclistes du calendrier mondial, ne se limite pas cette année aux performances sportives. L’Espagnol Borja Iglesias, figure du cyclisme ibérique, a profité de l’événement pour exprimer publiquement son soutien à la cause palestinienne, une prise de parole qui fait grand bruit. Devant les caméras et dans ses déclarations relayées par les médias, le coureur n’a pas hésité à employer des mots forts, dénonçant ce qu’il qualifie de « génocide ».

Son geste a surpris de nombreux suiveurs du cyclisme, rappelant que les sportifs de haut niveau peuvent aussi utiliser leur exposition médiatique pour porter des messages politiques ou humanitaires. En choisissant de s’exprimer ainsi lors d’une compétition internationale suivie par des millions de téléspectateurs, Borja Iglesias a ouvert un débat qui dépasse largement le cadre de la Vuelta. Les réactions s’enchaînent déjà sur les réseaux sociaux, oscillant entre soutien inconditionnel et critiques virulentes.

La prise de position du coureur survient dans un contexte de fortes tensions internationales autour du conflit israélo-palestinien. Dans le sport, rares sont les athlètes à s’exprimer ouvertement sur ce sujet sensible, ce qui confère encore plus de poids aux mots d’Iglesias. Son message a été relayé par plusieurs collectifs propalestiniens, qui voient dans cette déclaration un signe de solidarité venant d’un acteur du monde du sport de haut niveau.

Reste désormais à observer les répercussions potentielles sur la suite de sa carrière. Dans un milieu où la prudence médiatique est souvent de mise, Borja Iglesias prend un risque certain, mais affirme sa volonté de mettre en avant ses convictions personnelles avant toute considération sportive. Quoi qu’il en soit, son intervention marque l’édition 2025 de la Vuelta et illustre une tendance croissante : les sportifs ne sont plus uniquement des compétiteurs, mais aussi des voix qui comptent dans l’espace public.