L’entraîneur de Villeurbanne, TJ Parker, était heureux après une quatrième victoire de suite en Euroligue contre Milan vendredi.
« En première mi-temps, le problème était en attaque. On jouait trop vite, sans contrôler le tempo, comme on sait le faire. Dès qu’on a réglé ces quelques petits détails, on a réussi à jouer comme on voulait, à réaliser des stops et à marquer de gros paniers. On a fait une grosse deuxième mi-temps, en défense (29 points concédés) et seulement 4 balles perdues. On avait ciblé leurs arrières, Malcolm Delaney et Kevin Punter. C’est pour cela qu’on a titularisé Matthew Strazel, pour leur mettre une grosse pression dès le début. Sur la fin, on a vu qu’ils étaient fatigués. L’équipe progresse, cela se voit et ça fait plaisir. On a fait encore 19 passes ce soir. En fait, dès qu’on a pu s’entraîner, mettre derrière nous le covid et les pépins, il y a eu plus de cohésion dans ce qu’on a proposé. Il faut continuer comme ça. À -10 (39-49, 23e), on n’était pas inquiets. 10 points, ce n’est rien en basket. Les play-offs ? On n’y pense pas. On se concentre sur le match à venir en Jeep Elite contre Limoges (le 12 février). Parce que la dernière fois contre Chalon, on n’a pas du tout montré le même visage qu’en Euroligue. On doit être capables de faire ce switch. Pour le reste, on verra plus tard », a indiqué le coach de l’ASVEL.