Un bilan mou, une défense molle, une attaque molle…tout est mou à New-York cette année. Après Steve Nash à Brooklyn, c’est Tom Thibodeau aux Knicks qui vient de confortablement s’installer sur un siège éjectable.
Hier soir dans la défaite 145 (oui oui, 145) à 135 contre le Thunder d’OKC, les NY Knicks nous ont offerts un vrai match de basket à la façon des Spurs de 2014 : une énorme des défense, des phases d’attaque à 15 passes par actions, une vrai alchimie quoi. C’est évidemment faux, les new yorkais ont pondus un basket saveur oeuf pourri. 140 pions encaissés en quatre quart-temps et une onzième place à l’Est avec 6 victoires pour 7 défaites. L’histoire nous l’a appris : dans ce genre de situation bien miteuse, c’est souvent le coach qui saute en premier. Selon le journaliste Ian Begley de SNY, les jours de Thibs dans la grosse paume ne sont plus certains.
« Il se réchauffe, il est chaud [le siège de Thibodeau, ndlr]. Je pense que si vous avez encore quelques matchs comme celui-ci où les Knicks sont justes terribles, il y aura de gros changements, qu’il s’agisse de Tom Thibodeau ou d’autres. L’organisation s’attendait à ce que cette équipe soit beaucoup plus compétitive. »