Appelé à commenter les propos de Gilles Simon, qui a demandé au public français de ne pas trop le soutenir en finale de la Coupe Davis, Roger Federer s’est montré cinglant. Gilles parle beaucoup. Donc ça ne me surprend pas vraiment. Ni ce qu’il dit ni la façon dont il le dit, a asséné le numéro 2 mondial, refusant de trop polémiquer après avoir lancé la finale entre la France et la Suisse en postant des photos de lui à l’entraînement sur terre battue. Mes tweets n’étaient pas une déclaration de guerre. A la fin, ce qui compte pour moi, c’est de bien jouer et d’apporter deux ou trois points à l’équipe en final. Le reste m’intéresse moins, a-t-il ajouté dans les colonnes de l’Equipe.