Un sondage Elabe réalisé pour le comité de candidature Paris 2024 auprès des jeunes Français (15-25 ans) montre l’optimisme de la jeune génération pour l’accueil de l’événement.
Avec 82 % de soutien chez les 15-25 ans (88% en agglomération parisienne) et 72 % de ces mêmes 15-25 ans optimistes sur les chances d’obtention de l’organisation, Paris 2024 n’a pas à convaincre les jeunes de l’intérêt d’organiser les Jeux olympiques en 2024. Ils sont déjà conquis. Dans le sondage réalisé par Elabe pour le comité de candidature par internet du 21 au 23 mars 2017, sur un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française âgée de 15 à 25 ans, ils se montrent particulièrement confiants et favorables à l’organisation des JO dans la capitale française. 89 % des jeunes Français estiment que les JO sont une opportunité pour fédérer les Français autour d’un évènement positif et 88 % qu’il s’agit d’une opportunité pour mettre en valeur les savoir-faire et les talents français.
54% des jeunes veulent participer à l’organisation
Les jeunes Français, qui maîtrisent le sujet (84% savent que la ville de Paris est candidate), sont ainsi 82 % à être favorables à l’accueil des JO 2024 à Paris, cent ans après la dernière fois. Et ils sont 72 % à penser que Paris va gagner face à Los Angeles. Ce pronostic est encore prudent : « seuls » 13 % déclarent que Paris gagnera « certainement ». En cas de victoire, Paris 2024 devrait recevoir de nombreuses demandes de la part des jeunes Français, qui sont 54 % à se dire intéressés par le fait de participer à l’organisation des JO comme salarié, volontaire ou via le secteur associatif. 72 % des 15-25 habitant dans l’agglomération parisienne souhaitent s’engager entre 2017 et 2024 si Paris obtient les Jeux. Par catégorie d’âge, les 15-20 ans expriment un intérêt plus important que leurs « aînés » (21-25 ans) : 58% des 15-20 seraient intéressés pour participer à son organisation contre 50% des 21-25 ans. Enfin, les 15-25 ans ont aussi bien l’intention de profiter des Jeux à Paris, 58 % d’entre eux souhaitant d’ores-et-déjà assister aux épreuves.